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Comme des images: Edition 2014 Broché – Grand livre, 5 février 2014
- Âge de lectureDès 12 ans
- Nombre de pages de l'édition imprimée208 pages
- LangueFrançais
- Dimensions13.6 x 1.7 x 21.6 cm
- ÉditeurSARBACANE
- Date de publication5 février 2014
- ISBN-102848656603
- ISBN-13978-2848656601
Titres populaires de cet auteur
Description du produit
Biographie de l'auteur
Détails sur le produit
- Éditeur : SARBACANE (5 février 2014)
- Langue : Français
- Broché : 208 pages
- ISBN-10 : 2848656603
- ISBN-13 : 978-2848656601
- Âge de lecture : Dès 12 ans
- Poids de l'article : 265 g
- Dimensions : 13.6 x 1.7 x 21.6 cm
- Classement des meilleures ventes d'Amazon : 557 970 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)
- Commentaires client :
À propos de l'auteur

Née en France, Clémentine Beauvais vit en Grande-Bretagne, où elle est enseignante-chercheuse en sciences de l’éducation à l’université de York.
Dans la collection EXPRIM’, elle est l’autrice de "Les Petites Reines" un succès retentissant : le roman a été traduit en Allemagne, Pologne, Slovénie, Grande-Bretagne, République Tchèque et Italie, adapté au théâtre et élu Meilleur Roman Jeunesse 2016 par le magazine LiRE, lauréat du Prix Sorcières et du Prix Libr’à’nous.
Un succès confirmé dès l’année suivante avec "Songe à la douceur", déjà traduit en Grande-Bretagne et aux États-Unis, en Italie, au Brésil, en Russie.
Commentaires client
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- Avis laissé en France le 12 mars 2014C'est un livre qu'on lit d'une traite. L'auteure a un réel talent pour nous entraîner dans l'histoire, faire vivre ses personnages et maintenir le suspense. Mêlant parfaitement style écrit raffiné et style parlé, elle tisse le roman autour d'une thématique axée sur l'image de soi, l'image des autres, bien ancrée dans le réel. Elle mêle avec bonheur l'humour et le tragique. Ce livre illustre aussi les effets dévastateurs des réseaux sociaux. A lire par les jeunes et les moins jeunes !
- Avis laissé en France le 9 octobre 2014Livre très bien écrit et par lequel on arrive à comprendre les malaises du aux réseaux sociaux et au harcèlement que peuvent subir certaines personnes
- Avis laissé en France le 16 avril 2015Nous suivons l'histoire de Léopoldine et d'Iseult, deux prénoms bien choisi par rapport au "destin" de celles-ci.
Dans un collège-lycée huppé, où aucun scandale ne peut retentir, une petite vengeance d'ex qui ne le supporte pas va tout faire dégénéré et jusqu'à la toute fin, on ne peut pas imaginer cela.
L'auteure réussit à nous embobiner dans son histoire avant d'en commencer une autre sur les bases de la première mais qui est très tragique, beaucoup plus que la première. Et je salue l'auteure, car cela est extrêmement mais vraiment réellement bien fait.
Ce petit livre nous donne une excellente et très grande leçon de vie je trouve et je n'ai pas les mots, j'ai peur de trop vous en dire, car révéler quelque chose de l'histoire c'est vendre l'histoire et chaque petit détail est important.
Je pense que vous l'aurez compris, ce petit livre empreint d'humanité m'a littéralement transporté et c'est un énorme coup de cœur!
- Avis laissé en France le 9 mars 2014Tout d’abord je tiens à dire pour commencer cette chronique que je ne vais pas m’attarder sur l’histoire, le résumé (qui est très bien fait d’ailleurs) en quatrième de couverture est suffisamment explicite. Ce livre est un petit bijou qu’il faut vraiment découvrir par soi-même…
Nous découvrons cette histoire à travers les yeux d’une jeune lycéenne – dont on ignore le prénom – qui voue un véritable culte pour sa meilleure amie, Léopoldine. La fabuleuse, la merveilleuse, la parfaite Léopoldine. Celle qui a laissé tomber le mec le plus populaire du lycée pour l’intello de service, celle qui a une sœur jumelle Iseult et qui contrairement à leur physique similaire est d’un caractère diamétralement opposé au sien. La douce Iseult, posée, réservé et l’exubérante, la virevoltante (superficielle ?!) Léopoldine.
En lisant ce livre j’ai plus eu la sensation d’être une observatrice, un peu à la manière dont on suit un documentaire. Non pas que je n’ai pas su m’introduire dans cette histoire et non pas qu’elle ne m’ait pas touchée…bien au contraire ! Non, il s’agit plus précisément d’une espèce de sentiment de froideur…une sorte de détachement que l’on a avec les personnages. Comme si l’auteur nous les faisait découvrir à travers une vitre ou un écran que l’on ne peut percer et que l’on n’a surtout pas envie de franchir ! J’ai ressenti comme une certaine retenue avec le lecteur, une sorte de mise en garde…c’est assez dur à expliquer, en faite le mieux c’est de le lire ;-)
L’histoire est simple mais digne d’un fait d’hiver, d’une rumeur comme l’on en croise des milliers sur internet : par jalousie – ou désespoir – un jeune lycéen décide de publier une vidéo très compromettante de son ex petite amie en la diffusant par email à tous les élèves et enseignants de son lycée.
Le style de Clémentine Beauvais est très efficace, l’on est tout de suite immergé dans l’univers du lycée, le langage est assez direct et incisif comme savent très bien le faire les jeunes. L’auteure nous démontre avec une banalité proche de la réalité, les conséquences d’un tel acte sur une petite communauté (tel qu’un lycée). À un âge où l’on ne mesure pas encore bien les effets d’une telle opération et surtout à un âge où le regard d’autrui est très important. Et où l’on a ce puissant besoin d’appartenance à un groupe, cette nécessité d’être aimé et apprécié par ses amis. Surtout dans une école telle que le Lycée Henri IV, c’est THE lycée pour réussir. Le lycée qui est en tête du palmarès des meilleurs lycées français et dans lequel la compétition entre élèves fait rage à chaque instant pour arriver en tête de classement.
« Tout le monde ne passe pas en première S, il y en a qui se font expulser, et sans passer en S tu ne peux pas passer en prépa scientifique, et sans prépa scientifique tu peux faire une croix sur le reste de ta vie. »
En bref : Comme des Images ou Comment détruire la vie de quelqu’un en quelques clics ?! Ce roman parle d’un acte et de ses conséquences, d’un véritable drame. C’est un livre efficace qui se lit très vite et qui marque. Un roman à placer sans nulle doute entre beaucoup de mains et notamment celles des ados (et des adultes) qui ne mesurent pas bien l’ampleur des dégâts que peut causer une malheureuse toute petite vidéo poster sur le net.
- Avis laissé en France le 5 février 2014Le résumé alléchant m’avait de suite attiré : il me fallait Comme des images. Quand les éditions Sarbacane me l’ont proposé en partenariat, j’ai sauté sur l’occasion et je ne regrette pas, au contraire. Un immense merci à Claire et à Lucie : Comme des images est mon premier gros coup de cœur de 2014 !
« Il y a un corps dans la cour du lycée Henri IV »
L'histoire de Comme Des images commence par ce non happy-ending. Pourtant comme toutes les histoires, elle débute par un "Il était une fois" : il était une fois une jolie adolescente populaire amoureuse d'un beau garçon populaire. Le couple parfait ! Mais à seize ans, rien n’est éternel et Léopoldine rompt avec Timothée pour Aurélien. Tim décide de se venger de ce qu’il voit comme une trahison : il envoie une vidéo compromettante de son ex petite amie à l’ensemble des élèves du lycée, aux profs, aux parents d’élèves, à Iseult, la sœur jumelle de Léo, bref à tout le monde.
La vengeance est un plat qui se mange à la cantine de Polytechnique.
Un conte cruel mais réaliste, bouleversant mais révoltant, Comme des images nous offre une palette d’émotions variées ! Découvrant pour la première fois le travail de Clémentine Beauvais et j’ai été conquise par sa plume. C’est percutant, direct, l’auteur va droit au but, tout en entretenant le suspens. Il faut dire que le roman commence fort : « Il y a un corps dans la cour du lycée Henri IV ». On se retrouve immédiatement plongé dans l’histoire : quel corps ? La personne a-t-elle survécu ? Mais avant de répondre à ces questions, Clémentine Beauvais va nous expliquer comment ce corps est arrivé là. Pour cela, nous nous glissons dans la peau de la meilleure amie de Léopoldine. Aussi perturbant que cela puisse paraître, on ne connaît pas le prénom de l’héroïne. Et je trouve cela très malin car cela crée un vrai malaise : la narratrice a qui on s'est attaché est anonyme, elle nous est inconnu finalement. L’amitié entre Léopoldine et l’héroïne m’a bouleversé. Je l’ai d’abord trouvé très belle puis, mon regard a changé peu à peu : comme nous le montre l’auteur, il ne faut pas se fier aux apparences, elles sont souvent trompeuses.
On n'est pas en communication directe les uns avec les autres. Il faut parler. C'est infernal, ce silence.
Avec Comme des images, Clémentine Beauvais nous dresse un portrait réaliste des adolescents d’aujourd’hui, d’une violence insoutenable. Il y a la pression que l’on met sur certains pour la réussite de leur avenir mais ce qui m’a le plus ému, c’est le manque de communication. Ils sont ensemble en classe, ils sont amis sur Facebook ou s’envoient des sms à longueur de journée et pourtant ils sont seuls. A travers l’histoire de la narratrice, à travers ses mots, on ressent la détresse, la naïveté que l’on peut avoir à l’adolescence. Ce livre a été une vraie bonne claque que je n’avais pas vu venir. Il est à conseiller à tout le monde : aux adultes pour comprendre les lycéens actuels, mais aussi aux ados pour qu’ils comprennent que tout acte engendre des conséquences qui nous échappent.
"T'as eu raison de casser, t'as eu raison ; casser, c'était la seule solution".
C'est ce qu'on appelle de l'ironie tragique. On ne savait pas, à ce moment-là, qu'il y aurait quelqu'un d'autre dans cette histoire qui serait véritablement cassé, cassé comme ces petits oiseaux qui volent tout droit dans les fenêtres.
A ce moment-là, on ne voyait pas la vitre ; juste le monde entier au-delà, par transparence.
Je finis cette chronique frustrée : il y a tellement de choses dont j’aurais aimé vous parler mais finalement, c’est du livre en entier dont je veux discuter et l'article serait bien trop long. Tout ce que je peux vous conseiller, c’est de foncer dans votre librairie et d’acheter Comme des images et de revenir en parler ici ensuite !
Meilleurs commentaires provenant d’autres pays
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Rotaru BogdanAvis laissé aux États-Unis le 7 mars 2018
5,0 sur 5 étoiles Five Stars
:)